Cette remarque sur la nomenclature des poêles revient sur une remarque de novembre 2019, envoyée voici 2 ans...
Car je retombe parfois sur un cas signalé depuis longtemps et je constate que rien n'a changé.
Évidemment, cela ne pose de problème qu'à ceux qui utilisent le logiciel PACE, en certification et en audit en même temps.
Soit quelques pelés et deux tondus, apparemment.
Et bien sûr, c'est un micro-problème par rapport aux calculs foireux de la méthode PEB et de ses avatars en certification et en audit.
Bien sûr, bien sûr...
Mais si on pouvait déjà nettoyer ce genre de choses, on verrait déjà plus clair.
[Surtout que ce genre de bêtises n'aurait pas dû exister si on avait fait une conception correcte et une validation attentive.
Qui aurait dû faire ça ?
...
Tiens, personne ne sort du rang pour se mettre en valeur ?]
En tout cas, on saurait que les mails de remarques ne sont pas automatiquement dirigés vers la poubelle informatique du service du bâtiment durable de la DGO4.
Peut-être que la "durabilité" de ce service consisterait essentiellement dans la constance durable de leur absence de réponses et d'évolutions positives ?
Nan, je rigole... 😁
Vous avez ci-dessous le texte du mail de rappel et en dessous, le PDF du mail du 12.11.2019 (soupir...).
From: Ir Architecte Meessen Sent: Tuesday, October 5, 2021 10:04 AM To: Benoit Fourez (DGO4) ; Carole Van Goethem (DGO4) Cc: Carol Pisula (Cabinet du ministre Henry) ; contact@peeb.be ; Olivier Biérin (Député wallon) ; Spies Nicolas (C.C.W.) Subject: 20211005 Remarque n° 74, rappel de la remarque n° 14 du 12.11.2019
Bonjour à vous.
Je suis retombé récemment sur un encodage qui m’a rappelé la remarque n° 14 du 12.11.2019.
Elle est en annexe.
Il s’agit d’une discordance entre des panneaux de choix de PACE pour la certification et pour les audits, dans la caractérisation des poêles.
Pour la certification :
Pour les audits :
Dans PACE/audits, il n’y a pas moyen de répondre qu’on ne connait pas la date du ou des poêles. Même si certains poêles apparaissent comme plutôt récents, mais sans aucun renseignement à leur sujet, on ne peut quand-même pas encoder la première date de la liste, qui donne le meilleur rendement ! La seule alternative valable semble être la date la plus ancienne. Puisque “inconnu” engendre aussi le plus mauvais rendement. Mais c’est un piètre pis-aller... Et puisqu’on peut passer “automatiquement” d’un audit vers un certificat pour la situation initiale, la “traduction” ne pourra pas se faire d’une manière valable selon le protocole. Si l’auditeur-certificateur ne modifie pas cet encodage, il sera erroné. L’opération inverse est aussi possible : certificat >> audit. Que va devenir l’information “inconnue” du certificat quand on sera dans l'audit ? C’est n’importe quoi. Pour rester homogène et logique entre les deux versions du logiciel, il faudrait : 1. placer une réglette “inconnue” dans le choix de l’audit 2. remettre les choix dans le même ordre que ceux de la certification. Vu que la remarque n° 14 date du 12.11.2019, on peut constater que rien n’a été fait depuis lors pour modifier le logiciel, alors que ça ne parait pas une tâche insurmontable. On peut comprendre que ça ne soit pas capital, mais ça fait tache. Ne pas avoir modifié ça après autant de temps (presque 2 ans), nous laisse perplexes quant à la volonté réelle d’améliorer les choses qu’on vous signale. D’autant plus qu’il aurait été facile, lors de la conception du logiciel, d’éviter cette erreur, par simple copié-collé. C’est à se demander si une validation a été faite et de quelle façon ? J’espère qu’on n’attendra pas encore 2 ans de plus avant que ça ne soit corrigé. Merci pour votre suivi, Alain MEESSEN, vice-président de l’asbl PEEB.