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    • Ir.architecte.meessen
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      20220620 Remarque n° 86, rappel du rappel de la remarque n° 47 Fw: 20210825 Tr : 20200923 Remarque n° 47 PACE (audit)...
      Relais PEEB / logiciels
      Cette remarque n° 86 est un rappel du rappel (25.08.2021) de la remarque n° 47 du 23.09.2020 : "PACE (audit) demande d'amélioration d'une paroi qui n'existe plus en Situation initiale modifiée", qui n'a toujours pas été implémentée dans la version actuelle du 21.09.2021 (n° 14858). En espérant qu'elle le sera dans celle qui devrait venir le 27.06.2022... Suspense ! From: Ir. Architecte Meessen Sent: Monday, June 20, 2022 2:21 PM To: Benoit Fourez (DGO4) ; Carole Van Goethem (DGO4) Cc: Carol Pisula (cabinet du ministre Henry) ; Olivier Biérin (Député wallon) ; Spies Nicolas (C.C.W.) ; Ir. Architecte Meessen ; contact@peeb.be Subject: 20220620 Remarque n° 86, rappel du rappel de la remarque n° 47 Fw: 20210825 Tr : 20200923 Remarque n° 47 PACE (audit) demande d'amélioration d'une paroi qui n'existe plus en Situation initiale modifiée Benoit, Carole, bonjour. Voici ma remarque n° 86 : rappel du rappel (25.08.2021) de la remarque n° 47 (23.09.2020). Je viens encore une fois de tomber sur le problème d’une paroi fantôme, supprimée en S.I.M., dont le logiciel demande quand-même une amélioration ! Cette fois-ci, c’est une toiture inclinée. La version n° 14858 du 21.09.2021 de PACE n’a pas opéré cette correction, depuis le temps que c’est signalé (le 23.09.2020, soit un an avant). Évidemment, pour sauter cet obstacle dû à un bug de conception informatique, on peut toujours améliorer cette paroi qui n’existe plus mais ça devient gênant et loufoque, en face de demandeurs qui sont un peu attentifs... En espérant aussi que nous n’allons pas payer la correction avec le produit de nos taxes et impôts, comme beaucoup d’autres. Ce qui m’ennuie un peu, c’est la déclaration de Sylvie, citée dans mon mail du 23.09.2020, ci-dessous : “ C’est la manière qu’on nous a demandé d’implémenter les aspects non énergétiques ”. Qui est donc ce “on” ? Et prendra-t-il la responsabilité de supporter financièrement la correction de cette erreur ? Rassurez-moi ! Dites-moi que le problème de ces parois qui sont toujours là alors qu’elles ont été enlevées, sera enfin réglé avec la publication de la future version de PACE, prévue pour le 27.06.2022. Merci, Alain MEESSEN, Vice-président de l’asbl PEEB. From: Ir Architecte Meessen Sent: Wednesday, August 25, 2021 5:33 PM To: Benoit Fourez (DGO4) ; Carole Van Goethem (DGO4) Cc: Carol Pisula (Cabinet du minstre Henry) ; Olivier Biérin (Député wallon) ; contact@peeb.be ; Spies Nicolas (C.C.W.) Subject: 20210825 Tr : 20200923 Remarque n° 47 PACE (audit) demande d'amélioration d'une paroi qui n'existe plus en Situation initiale modifiée Benoit, Carole, bonjour. Je retombe encore une fois sur le problème signalé par la remarque n° 47 du 23.09.2020 ( PACE (audit) demande d'amélioration d'une paroi qui n'existe plus en Situation initiale modifiée ). Un plancher de grenier disparait dans la situation initiale modifiée, il est mis à zéro pour sa surface et l’escalier vers le grenier, qui est une annexe accolée, a disparu aussi. Mais le logiciel continue à demander une amélioration pour cette paroi qui n’existe plus ! Comment est-ce possible que, presque 1 an après cette remarque n° 47, rien n’ait été fait pour enlever ce bug de conception ? Car pour passer outre ce message d’”erreur” (sic), on n’a pas le choix que d’indiquer un travail d’amélioration pour cette paroi disparue (EGHTI2 : Remplacement de la couverture de toiture). Ça passera pour l’audit mais qu’est-ce que ça donne pour le rapport de suivi ? Depuis le temps que c’est signalé, vous avez peut-être déjà vu apparaitre ce problème dans un rapport de suivi. Merci de me signaler rapidement comment il faut faire pour éliminer ce bug dans l’encodage. Et surtout, faites-le disparaitre du logiciel dans la prochaine version. Merci, Alain MEESSEN Vice-président de l’asbl PEEB. De : Ir Architecte Meessen Date : mercredi 23 septembre 2020 15:31 À : Benoit Fourez (DGO4) ; Carole Van Goethem (DGO4) Cc : Architecte Nicolas Csik ; Olivier Biérin (Député wallon) ; Yvain Stiennon (PEEB) ; Carol Pisula Objet : 20200923 Remarque n° 47 PACE (audit) demande d'amélioration d'une paroi qui n'existe plus en Situation initiale modifiée Benoit, Carole, bonjour. Voici ma remarque n° 47 . Il s’agit d’une demande de PACE en audit d’améliorer une paroi qui n’existe plus ! Dans la Situation initiale modifiée d’un projet d’audit, j’ai supprimé le Plafond horizontal du 2e étage, qui est T1 Plancher du grenier. Il est barré dans le tableau ci-dessous. Il est bien mis à zéro dans l’onglet Types de toiture (dans la case Situation initiale modifiée : surface brute), et aussi dans l’onglet Types de toitures de la Situation rénovée. Cet élément n’existe plus en principe . Pourtant, en Situation après rénovation, onglet “Types de toitures rénovées” et aussi dans les résultats généraux, le logiciel envoie un message d’erreur à son sujet qui veut qu’on lui mette la recommandation EGHTI2, ce qui n’a pas de sens, puisque cette paroi n’existe plus (Surface nette après rénovation = 0). Ça me paraissait tellement gros que j’ai interrogé Sylvie CALLENS qui me répond : “ tous les problèmes non-énergétiques qui sont actuellement là (= situation initiale), doivent être résolu/coché dans la situation après rénovation (= même les problèmes qui ne vont plus être là une fois que situation modifiée est implémenté). C’est la manière qu’on nous a demandé d’implémenter les aspects non énergétiques .” D’après elle, ce serait donc de votre initiative ou de celle de l’ICEDD de procéder ainsi pour des “problèmes non énergétiques” présents en situation initiale. Mais déjà, c’est étonnant qu’on doive s’occuper en Situation rénovée, d’une paroi qui n’est plus concernée... Cependant, la recommandation EGHTI2 demande de “remplacer la couverture de la toiture”. Passons sur le fait que cette “toiture” n’en est pas une puisqu’elle a été déclarée contigüe à un espace non à l’abri du gel... C’est peut-être une question de finesse de vocabulaire pour désigner ce type d’élément. On pourrait certainement faire un effort de précision de vocabulaire pour ces parois avec des déperditions vers le haut : c’est une “toiture” quand elle est contigüe à l’extérieur, c’est )un “plafond” quand elle est contigüe à un EANC. Mais le plus important est qu’ on ne devrait plus s’en occuper puisqu’elle a été supprimée de la liste dans la Situation initiale modifiée. Évidemment, si l’opération de suppression a seulement consisté à mettre sa surface à zéro, cela ne suffit manifestement pas pour les recommandations non énergétiques. Cette fausse “erreur de calcul” qui apparait en remarque, bloque la continuation du travail avec le tableau de synthèse, si on ne coche pas la case EGHTI2 pour faire disparaitre le message. La conséquence de cette opération de sauvetage incongrue est que la recommandation apparait dans la liste des travaux à faire et qu’elle se place dans le 1er bouquet. De mon côté, je considère qu’il s’agit d’un bug de conception qu’il faudrait voir disparaitre sans tarder. Car pour finir, cette recommandation inutile qui ne se fera pas, posera un problème dans le rapport de suivi du bouquet 1, que ce soit l’administration ou l’auditeur qui le fasse. Il faudra encore passer par des explication alambiquées pour tenter d’expliquer ce phénomène bizarre qui consisterait à ne pas devoir appliquer une recommandation sur une paroi qui est intégrée dans le volume protégé. Ce serait plus simple que pour toutes ces parois supprimées dans la Situation initiale modifiée, les recommandations non énergétiques n’apparaissent plus nécessaires au niveau du logiciel. On n’en parlerait plus. D’autant que je me souvienne, j’avais déjà fait précédemment cette opération de suppression d’un plancher de grenier et je n’avais pas eu ce problème. Pourquoi apparait-il maintenant ? Recevez mes amitiés, Alain.
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    • Ir.architecte.meessen
      5d
      20220617 Remarque n° 85 Un audit valablement déposé sur le serveur, ne le serait plus pour le rapport de suivi
      PAE primes, procédures & admin
      Lors de la création récente d'un rapport de suivi, l’administration s'est retrouvée devant un logiciel bloqué. La raison ? La validité du certificat de contrôle de l'installation électrique était dépassée. Or quand l'audit a été déposé, il n'y avait pas eu de blocage. Lorsque le demandeur a envoyé les documents pour le rapport de suivi, la date du certificat n'était pas encore dépassée. Mais vu le long délai d'attente de traitement, au moment où le fonctionnaire a ouvert le dossier, la date était dépassée. Que croyez-vous qu'il advint ? Eh bien, l'administration demande à l'auditeur de modifier son audit, tout simplement... Oui, mais, ce n'est pas aussi simple que ça. En effet, à la date de modification de l'audit, le certificat de contrôle ne sera plus valable. Du coup, il faut placer une appropriation de l'installation électrique dans le 1er bouquet. Ou bien attendre que le demandeur ait un nouveau certificat de contrôle pour que cette ligne n'apparaisse pas dans le 1er bouquet. Tout ça génère des frais et des pertes de temps dont ni le demandeur, ni l'auditeur ne sont responsables. Comme quoi les longs délais de traitement des demandes pourraient générer des problèmes à cause du dépassement des dates de validité de certains certificats. Mais indépendamment de cela, vu que l’audit est valable 7 ans, cela pourrait encore se passer plus tard dans le futur, puisque les certificats sont valables 25 ans. C'est certainement un aspect du problème à éclaircir rapidement. C'est l'objet de la remarque N° 85 ci-dessous. From: Ir. Architecte Meessen Sent: Friday, June 17, 2022 12:49 PM To: VAN GOETHEM Carole Cc: Benoit Fourez (DGO4) ; Carol Pisula (cabinet du ministre Henry) ; Olivier Biérin (Député wallon) ; Spies Nicolas (C.C.W.) ; Ir. Architecte Meessen ; contact@peeb.be Subject: 20220617 Remarque n° 85 : un audit valablement déposé sur le serveur, ne le serait plus pour le rapport de suivi. Carole, bonjour. Je pense que le problème envisagé ci-dessous, doit générer la remarque n° 85 : un audit valablement déposé sur le serveur, ne le serait plus pour le rapport de suivi. Au moment où j’ai envoyé le fichier de A20210429******/01, il n’y avait pas eu de blocage, sinon, ça n’aurait pas marché. Le certificat de contrôle de l’installation électrique était valable jusqu’au 21.05.2022 . Puisque vous traitez le rapport de suivi après cette date, la situation a changé. Il en serait d’ailleurs éventuellement de même, pour d’autres certificats (gaz, électricité) à date limitée. Les demandeurs me signalent qu’ils ont envoyé leur demande de rapport de suivi à l’administration, le 18.11.2021 . En tout cas, l’auditeur a terminé sa mission depuis le 29.04.2021 , voici plus de un an ! Il y a donc une série de problèmes sous-jacents à prendre en compte , me semble-t-il : 1. La modification de l’audit, quelle qu’elle soit, va générer des frais. Qui va les supporter ? 2. La modification de l’audit ne peut se faire aussi simplement de la façon dont tu parles car il y aura une demande d’un nouveau certificat de contrôle de l’installation électrique, vu que la date du précédent est dépassée actuellement. Cette nécessité engendre l’obligation pour les demandeurs, - soit de payer pour avoir un nouveau certificat, si l’installation peut encore être certifiée telle quelle, - soit de faire faire des travaux d’appropriation de l’installation pour pouvoir obtenir ce nouveau certificat. Que ce soit l’une ou l’autre solution, cela ne peut se faire rapidement et ce sont les demandeurs qui attendent. Si c’est la 2e solution (après passage d’un électricien pour faire un devis), les travaux d’appropriation pourraient faire l’objet d’une demande de prime en les plaçant en priorité dans le 1er bouquet. Dans ce cas, l’audit initial ne pourrait pas être simplement modifié par ce supplément dans le listing des travaux, sauf si tu me confirmes que cet ajout pourrait passer dans le n° 2 du même numéro initial. Et ceci ne serait de toute façon valable que dans le cas où l’administration n’a pas encore complètement traité le 1er bouquet. En généralisant, ce ne sera pas le même cas si ça arrive pour le suivi des bouquets suivants. 3. Pour traiter simplement ce dossier, il faudrait donc que l’administration admette que le dossier était valable au moment de la demande de rapport de suivi. Si ce n’est pas le cas, le problème soulevé n’est pas dû au demandeur, ni à l’auditeur. Je n’ai pas besoin de te rappeler le contenu de l’article 2 du chapitre 2 de l‘A.G.W. du 04.04.2019 : “ Chapitre 2. Procédure de demande de réalisation d’un rapport de suivi de travaux par l’administration. Art. 2. Pour l’application de l’article 6 de l’arrêté, le demandeur introduit une demande de réalisation d’un rapport de suivi de travaux auprès de l’administration. Pour être complète, la demande est constituée : 1° du formulaire disponible auprès de l’administration et de ses annexes, dument complétés ; 2° des pièces et éléments justificatifs visés aux articles 3 à 13. L’administration adresse au demandeur un accusé de réception dans les quinze jours à dater de la réception de la demande visée à l’alinéa 1er. Dans les soixante jours suivant l’accusé de réception, l’administration invite le demandeur à fournir tout document nécessaire pour compléter la demande. Le demandeur dispose d’un délai de soixante jours à dater du courrier de l’administration pour fournir ces documents à l’administration. Le défaut de transmission des documents demandés par l’administration dans le délai prescrit à l’alinéa 4 entraine le rejet de la demande. L’administration réalise le rapport de suivi dans les trente jours de la réception de l’ensemble des éléments nécessaires à l’établissement dudit rapport. Le rapport de suivi est transmis par l’administration au demandeur dans les quinze jours à dater de son enregistrement sur la base de données. ” 4. Lors de la constitution d’un dossier d’audit, ou d’une demande de rapport de suivi, faudrait-il donc à chaque fois anticiper le long délai de traitement du rapport de suivi par l’administration, pour provoquer un renouvèlement d’un certificat de contrôle, générant des frais, et peut-être l’inscription d’un travail d’appropriation de l’installation qui devrait être placé dans le 1er bouquet, anticipativement alors qu’on n’en a pas besoin au moment de l’introduction, soit de l’audit, soit de la demande de rapport de suivi ? 5. Vous devriez donc donner des instructions claires aux auditeurs pour qu’ils sachent comment se comporter dans des cas semblables : - d’une part, au moment où l’audit est en cours, s’il n’est pas prévu qu’il s’occupera du rapport de suivi, - d’autre part, au moment où il traiterait un rapport de suivi (quel que soit le n° du bouquet), si c’est lui qui en est chargé. 6. Les demandeurs devraient aussi être informés de l’implication du fait que leurs demandes de rapports de suivi, qui peuvent s’échelonner dans le temps (7 ans !), pourraient provoquer la nécessité d’une mise à jour de leur(s) certificat(s), avec peut-être des travaux à inscrire dans la liste du 1er bouquet, si nécessaire. Ce qui engendrerait l’obligation d’introduire un audit modifié, et de quel type il devrait être (nouvel audit), si les premiers bouquets ont déjà été acceptés ?. Puisqu’il n’y aurait normalement pas besoin d’introduire d’emblée des travaux d’appropriation d’installations, si les délais des certificats ne sont pas encore forclos pour les premiers bouquets (et pendant leur long traitement par l’administration). 7. Ces opérations entrainent des couts dont il est important que les demandeurs soient informés préalablement. Cependant, vu le long délai de traitement actuel par l’administration, il faudrait leur donner une perspective plausible, pour qu’ils sachent comment se comporter lors de l’introduction d’une demande de rapport de suivi, qu’elle soit traitée par l’administration ou par un auditeur. Je présage que ce n’est malheureusement pas ça qui va donner un coup de boost aux opérations d’amélioration des logements, si chères au ministre. Ce problème est à ajouter aux points relevés dans ma remarque n° 37 Lever les obstacles à la rénovation des logements, du 22.07.2020 (en annexe), qui n’a eu aucune suite, à ma connaissance, si ce n’est le constat d’un lancement du programme couteux Réno+, sans agir à la racine des problèmes administratifs d’abord. 8. Le ministre et/ou l’administration devrait prendre position le plus vite possible pour des cas semblables, créés par les délais anormaux de traitement des dossiers par l’administration, par rapport à la législation en cours. Je présume que, si ce n’est pas encore arrivé (je serais donc le premier, mazette ! D’après le message que tu envoie ci-dessous à Hemmis, ça semblerait être le cas), ça va certainement arriver sur la table plus qu’une fois à l’avenir. 9. Enfin, je devrais encore m’occuper de ce dossier (qui était clôturé depuis longtemps), notamment à cause de vos envois et par le présent mail. Et je subodore que ce n’est probablement pas terminé... Ces frais risquent fort de n‘être pas couverts (et par qui, donc ?), et le temps passé me crée des problèmes de planning, ce qui ne m’arrange pas du tout. 10. Je te remercie de me donner des informations sur la façon dont l’administration devrait pouvoir simplement, dans ce cas d’espèce précis , continuer à traiter un dossier qui était parfaitement valable lors de son introduction, et même tout au long de son traitement prévu par l’AGW du 04.04.2019. Alain, vice-président de l’asbl PEEB.
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    • Ir.architecte.meessen
      31 mai
      20220531 Remarque n° 84 Installation de panneaux PV sur une autre parcelle
      CERTIF énergie renouvelable
      Ce cas est arrivé récemment lors d'un examen oral de certificateur. Des panneaux PV sont installés sur un appentis situé sur une parcelle contiguë à la parcelle sur laquelle se trouve le bâtiment principal. Ceci, sur la base d'un plan de lotissement. Mais en examinant le plan cadastral récent, les 2 parcelles appartenant au même propriétaire, ont été fusionnées en une seule avec un nouveau numéro. Pas de problème pour ce cas-ci au point du vue du protocole. Mais le protocole est trop strict, parce qu'on ne comprend pas pourquoi des panneaux PV installés sur une parcelle appartenant au même propriétaire que celle où est située l'unité PER, ne devraient pas être considérés, si l'examen sur place de l'installation intérieure à l'unité PER et des preuves acceptables montrent qu'on a affaire à une seule installation. Enfin, de nouveaux modes de partage de l'électricité auto-produite sont en train d'être mis en place en Wallonie et devraient être rapidement intégrés au protocole. From: Ir. Architecte Meessen Sent: Tuesday, May 31, 2022 9:31 AM To: Benoit Fourez (DGO4) ; Carole Van Goethem (DGO4) Cc: Carol Pisula (cabinet du ministre Henry) ; Olivier Biérin (Député wallon) ; Spies Nicolas (C.C.W.) ; contact@peeb.be ; Gérôme Forthomme - Brouae Subject: 20220531 Remarque n° 84 Installation de panneaux PV sur une autre parcelle Bonjour à vous. Ce lundi, un cas d’examen oral de certificateur PEB s’est présenté, qui justifierait un éclaircissement de protocole en réponse à la présente remarque n° 84 : Installation de panneaux PV sur une autre parcelle . Il s’agit d’une installation de panneaux photo-voltaïques sur un petit appentis, situé sur une parcelle de lotissement contigüe à la parcelle sur laquelle est situé le bâtiment principal. C’était la partition d’une vieille ferme en carré et du terrain environnant. Sur le plan de lotissement, les 2 parcelles ont des numéros cadastraux différents parce qu’elles ont été prises dans des parcelles originelles plus grandes, numérotées différemment (on parle alors d’un n° ... /partie) et elles sont rassemblées sous liseré vert sur le plan de lotissement ci-dessous (à droite). Le propriétaire de la parcelle où se trouve le bâtiment principal a aussi acheté la parcelle où est implanté l’appentis latéral sur lequel se trouvent les panneaux. Le protocole au § 13 Systèmes solaires photovoltaïques, spécifie : “ Dans le cadre de la certification, seuls les systèmes d'énergie solaire photovoltaïque installés sur la parcelle du bâtiment comprenant l’unité PER considérée doivent être pris en compte par le certificateur. Autrement dit, des capteurs solaires photovoltaïques qui seraient installés sur un bâtiment ou le sol situé sur une autre parcelle que celle de l’unité PEB considérée doivent être ignorés, même si l’électricité produite profite effectivement à l’unité PEB certifiée .” En se basant sur le texte du protocole et sur l’examen du lotissement, on devrait donc ignorer cette installation photo-voltaïque pour la certification du bâtiment. Mais par l’examen du certificat d’origine garantie et de l’installation intérieure, il n’y a aucun doute que les panneaux qui se trouvent sur l’appentis sont branchés sur l’installation électrique du bâtiment principal. La preuve acceptable pour ce cas particulier, est le plan cadastral existant (ci-dessous), où on voit que les 2 anciennes parcelles contigües ont été fusionnées et cadastrées en une seule après l’achat, puisque c’est le même propriétaire. Il faudrait donc préciser le texte du §13 du protocole, spécifiant la localisation des panneaux photovoltaïques à considérer, s’ils sont implantés sur une parcelle appartenant au même propriétaire que la parcelle sur laquelle se trouve l’unité PEB à certifier. La preuve acceptable pourrait être un acte d’achat authentique, mentionnant les numéros cadastraux de ces parcelles ou un extrait récent du plan cadastral comme ci-dessus. Notez aussi qu’il va falloir bientôt être beaucoup plus nuancé que le protocole actuel, dans la mesure où il va y avoir la nécessité d’inclure dans la certification PEB, les cas où il y aurait une communauté d’énergie électrique avec le voisinage ou une autoconsommation collective , dans un proche avenir, s’il existe un contrat spécifique. Chaque unité PER devrait recevoir une répartition de l’énergie auto-produite et consommée collectivement, en fonction d’une clé à définir pour la certification PEB. Il faudrait y penser maintenant pour ne pas être pris de court quand cela arrivera, ce qui ne va pas tarder. En attendant, recevez mes amitiés, Alain MEESSEN, vice-président de l’asbl PEEB. Le lndemain, il y a eu une réponse de Nicolas SPIES, de la CCW : From: Spies Nicolas Sent: Wednesday, June 1, 2022 7:42 AM To: Ir. Architecte Meessen ; Benoit Fourez (DGO4) ; Carole Van Goethem (DGO4) Cc: Carol Pisula (cabinet du ministre Henry) ; Olivier Biérin (Député wallon) ; contact@peeb.be ; Gérôme Forthomme - Brouae ; GILOT Ronald ; COLLARD Arnaud ; Aniset Julien Subject: RE: 20220531 Remarque n° 84 Installation de panneaux PV sur une autre parcelle Bonjour Alain, Je te remercie de ton message. Ce constat de l’impossibilité de valoriser correctement la production photovoltaïque dans la méthode de calcul PEB a également été faite par la CCW et relayée à l’administration. Nous espérons que la méthode de calcul pourra être adaptée rapidement pour pallier à cette situation impactant négativement le recours au panneaux photovoltaïques (surtout en construction neuve car pour les bâtiments existants les propriétaires sont moins conscientisés de cette situation). Bonne journée, Nicolas Ir. Nicolas SPIES Conseiller Energie & Qualité Puis j'ai élargi le débat en revenant sur plusieurs remarques successives déjà envoyées, sans que les choses n'aient changé de la part de l'administration, ni du cabinet. Les fichiers des mails/remarques citées dans le mail ont été annexés. Si le lecteur veut les avoir, il suffit de les demander par un commentaire. From: Ir. Architecte Meessen Sent: Wednesday, June 1, 2022 11:25 AM To: Spies Nicolas ; Benoit Fourez (DGO4) ; Carole Van Goethem (DGO4) Cc: Carol Pisula (cabinet du ministre Henry) ; Olivier Biérin (Député wallon) ; contact@peeb.be ; Gérôme Forthomme - Brouae ; GILOT Ronald ; COLLARD Arnaud ; Aniset Julien Subject: Re: 20220531 Remarque n° 84 Installation de panneaux PV sur une autre parcelle Bonjour. Malheureusement, ce ne sont pas les seuls problèmes qui concernent les panneaux PV, parmi d’autres en PEB. Il y avait déjà eu une modification inopportune sur le calcul de leurs productions, lorsqu’on a supprimé l’influence de leur position par rapport au support. Or on sait que la température des panneaux intervient dans la détermination de la puissance-crête. Dans la formation des certificateurs PEB, il y a toujours actuellement la présentation de 4 cas possibles qui donnent 4 facteurs de réduction, remplacés depuis 2012 en PEB par un seul facteur de 0,75. Bien entendu, au cours des formations que je donne, je présente un slide modifié qui tient compte de la nouvelle règlementation, malgré qu’elle est fort discutable. Car en faisant cela, on a donné un bonus (de calcul) aux panneaux PV qui va de 3 % à 12 % selon les cas et ça ne correspond pas à la réalité, en tout cas pour le mode de pose. Pendant quelques années, cela a généré des discordances entre calculs PEB pour les nouveaux bâtiments, certification PEB et audits PAE, comme je l‘avais entre autres signalé dans mes remarques n° 24.1 et 24.2 du 05.08.2013, en plus de la remarque n° 23 pour les tarifications (en annexe), parmi la bonne centaine de remarques qui ont été envoyées en 2013 et 2014. Ces discordances réapparaissent lorsqu’on introduit un ancien fichier de certificat PEB dans les logiciels récents. Et elles donnent notamment une bonification “spontanée” aux certificats anciens reproduits par les logiciels récents (sans rien changer au bâtiment !). J’ai parlé de ce phénomène, qui bouscule encore plus la crédibilité des certificats PEB, dans ma remarque n° 39 du 27.07.2020 (en annexe). Par ailleurs, j’avais déjà signalé le double emploi fallacieux des auto-productions électriques dans la méthode PEB (qui est incluse dans la certification et dans les audits), car d’une part on les enlève entièrement des consommations d’énergie primaire du bâtiment, mais d’autre part, elles servent à produire une partie des gains internes par effet Joule des appareils électriques à l’intérieur du volume protégé. Ce problème a été évoqué dans mon mail du 27.03.2013 avant le lancement de l’audit PAE2 (en annexe). Dans mes remarques n° 47-1, –2 et -3 du 14.05.2021 sur la formation d’auditeurs-logements, j’ai aussi parlé du problème des ombrages en audit et je suis revenu sur d’autres problèmes déjà signalés de longue date mais qui n’ont toujours pas été traités (en annexe). Lorsqu’on aura solutionné tous ces problèmes, parmi de nombreux autres qui sont évoqués dans mes remarques successives et de longue date, on pourra alors parler vraiment de l’intégration correcte des productions des panneaux solaires PV dans les calculs des consommations des bâtiments. En attendant, les calculs s’égarent franchement, faute de s’être penché sérieusement sur ces questions. Je vous souhaite une belle journée de réflexions, après une saine lecture roborative, Alain MEESSEN, vice-président de l‘asbl PEEB.
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