Alors là, c'est plutôt fort de café : PACE demande qu'on améliore une paroi qui a été supprimée dans la "Situation initiale modifiée" !
La paroi a bien été annulée et sa surface est devenue nulle.
Cependant, un message d'erreur apparait pour qu'on lui colle une amélioration...
Et il n'y a pas moyen de faire autrement que de faire cette amélioration, sinon : feu rouge.
Dans l'exemple de la remarque, il y a 2 parois de cette sorte.
Ce n'est pas le seul cas que j'ai eu et ce sont apparemment des toitures.
J'ai interrogé une personne qui travaille chez Hemmis, la firme qui développe PACE.
Elle m'a répondu que c'était ce qu'"on" lui avait demandé de faire.
J'ai donc envoyé la remarque n° 47 pour voir si c'était vrai.
Croyez-le ou non : la DGO4 ne m'a pas répondu...
Mais il n'y a pas eu non plus de réaction disant qu'on va prendre le problème en main et qu'il sera résolu dans les 48 heures (ou plus).
Donc, tant que ce n'est pas résolu, il faudra placer une recommandation pour une paroi fantôme avant d'envoyer le fichier sur le serveur.
Et lorsque tous les travaux du bouquet seront terminés, il faudra expliquer à l’administration que les améliorations sur les parois enlevées n'ont pas pu être faites, fatalement.
Tout en gardant son sérieux, si possible, pour ne vexer personne.
Jean-Claude, c'est clair que le cas que tu cites doit rester dans les possibilités.
Et c'est d’ailleurs possible dans le logiciel tel quel, si c'est une toiture, par exemple, qui aurait été déclarée en situation initiale dans l'onglet "Aspects non énergétiques >> Infiltration/humidité",
On peut alors l'améliorer uniquement sur le plan technique.
Le cas que je cite est que la paroi (plancher de grenier) est tout simplement enlevée de la nomenclature, sa surface est annulée et elle n'a pas été signalée pour un autre problème qu'énergétique (par exemple stabilité).
Il y a donc bien un bug qui devrait disparaitre dans les prochaines années...😀
Patience !
En attendant, l'auditeur(e) peut toujours vasouiller pour tenter d'expliquer ça au client abasourdi par ce type de stupidité, alors qu'il pense que la Région a utilisé parcimonieusement le fruit de ses taxes et impôts pour offrir à l'auditeur(e) un outil (obligatoire) qui ne devrait pas faire ce genre de chose improbable.
Maintenant, à ton avis, qui va payer pour la correction de ce bug ?
Car, comme tu as lu dans le mail de ma remarque, l'informaticienne m'a répondu qu'on lui avait dit de faire ainsi.
S'il faut faire une correction, la firme d’informatique se fera payer pour son travail supplémentaire. Il reste à espérer que les concepteurs du logiciel (hors informaticien) ne seront pas payés pour corriger leur gaffe. Mais dans le brouillard mystérieux d'une communication inexistante, il y a fort à croire que nous ne le saurons jamais.
La devise : "Publicité, sauvegarde du peuple" (qui est inscrite au fronton de l'hôtel de ville de Verviers) n'est pas connue par la DGO4...
Ne peut-il pas exister des cas où une paroi qui ne délimite plus le Vper en situation modifiée doit quand même être réparée (infiltrations majeures, ...) ?
Mais il faudrait au minimum pouvoir éviter l'obligation de placer une recommandation quand elle n'a plus d'utilité par un mécanisme du style "ceci est une exception" afin de ne pas polluer le rapport présenté au client.