Cette remarque revient d'une réminiscence de ce qui se passait en PAE2, lorsque le cadre des commentaires de l'auditeur passait en fond rouge brusquement...
Alerte au feu !
Le texte est trop long !
Il fallait alors, soit le compacter, soit compléter le rapport d'audit avec une page volante pour que le demandeur ait l'ensemble des commentaires.
Mais il s'empressait souvent de le perdre parce que c'était justement une page volante...
Et voilà que le cinéma continue avec la nouvelle version du logiciel.
D'où la remarque du 18.09.2019.
Mais c'est arrangé maintenant (depuis quand ? On ne le sait pas puisque la DGO4 (audits) ne communique pas sur les modifications, ajouts ou corrections du logiciel) : le programmeur a modifié la place disponible ou la casse des caractères, et on a actuellement une quarantaine de lignes possibles dans le cadre des commentaires édités dans le rapport d'audit.
À l'auditeur de se limiter à l'essentiel.
Cependant, le cadre continue à devenir rouge lorsqu'on arrive + à la 30e ligne (c'est peut-être aussi un certain nombre de caractères, on n'en sait rien puisqu'on ne nous dit rien...).
Il resterait maintenant à déplacer le curseur de l'apparition du cadre rouge après le nombre de lignes du cadre du rapport.
Ou bien encore... laisser continuer le texte contenu dans le cadre du logiciel en allant à la page.
Il y a déjà plus de 40 pages dans le rapport.
Alors, s'il le fallait, une page de plus ne serait pas grand-chose.
En passant là par hasard avec ma petite souris qui glisse sur l'écran, j'ai vu apparaitre un pop-up d'avertissement sous le titre du cadre des "Commentaires de l'auditeur".
C'est vraiment malin !
C'est donc ça, la solution au problème du "cadre rouge" que nous ont trouvé les "concepteurs" du logiciel !
Sauf hasard très rare, personne ne penserait à aller frotter ce titre avec la flèche de la souris pour savoir s'il y a des anomalies.
En plus, vous apprécierez certainement qu'on annonce un "risque"...
Donc, ce n'est pas certain, alors ?
En fait, comme avant, l'auditeur (trice) devra de toute façon éditer un certificat-test pour aller vérifier ce que le logiciel a fait de son texte laborieusement écrit à l'attention du demandeur et de ses entrepreneurs.
Pour constater que, si le texte est tronqué (puisqu'il y a un risque...), il faudra revenir dans le logiciel pour compacter le texte jusqu'à ce que le fond repasse au blanc (mais c'est peut-être trop aussi, s'il n'y a qu'un risque...).
Par contre, le compactage risque de faire disparaitre des informations intéressantes.
Faites attention à ne pas trop écraser.
Ou encore, si on ne veut rien laisser tomber, il faudra quand-même éditer le texte sur une page volante à joindre au rapport, et on en est revenu à la case départ.
Bon sang !
Ça fait des dizaines de remarques que j'envoie régulièrement depuis des années pour qu'on rende les logiciels plus user-friendly et sans opérations inutiles, en faisant gagner du temps à l'opérateur pour limiter aussi les couts, ou pour éviter de brader des honoraires largement dus pour le travail qu'on est obligé de faire.
Et au lieu de passer simplement à la page, on constate que c'est ce timide pop-up qui apparaitrait comme par miracle.
Pour un résultat de toute façon nul, puisque ça ne change rien dans la suite à donner à cet avertissement fantôme.
Celui (celle) qui a fait ça ne comprend pas vraiment bien nos besoins.
Ou bien on lui a dit de faire cheep.
L'apparition du pop-up aurait pu se faire lors de l'apparition du cadre rouge.
Ça n'aurait pas changé grand-chose pour le travail de l'auditeur(trice).
Par contre, ça aurait couté plus cher.
Mais aller simplement à la page suivante dans le rapport, c'est peut-être trop demander, malgré son cout inabordable ?
Allons, donc !
Notez que cela aurait dû être fait dès la conception et ça n'aurait pas couté plus cher.
D'un autre côté, pour l'apparition d'un fond orange (en audit) ou rouge (en certification) pour le cadre de a description de l'enveloppe, il n'y a rien qui a changé.
Et d'autres cadres sont apparemment illimités, sans aucune modification de la couleur du fond de cadre... comme si la place était infiniment disponible.
Si c'est pas du beau travail tout ça, pour lequel on paie bien cher ?
Remarquez que je n'en ai reparlé que deux fois de plus seulement.
Soit dans la remarque n° 28 du 28.05.2020 ou encore dans la remarque n° 67 du 31.05.2021.
Ce n'est pas beaucoup, finalement...
(s) Jean Naymar...