J'ai 3 questions ouvertes sans réponse auprès de primeshabitation@spw.wallonie.be
Elles datent du 27/9, 15/11 et 22/11 et concernent chaque fois un bâtiment précis. Les 2 dernières sont bloquantes pour le client qui veut savoir à quelle sauce il sera mangé avant de s'engager.
J'ai essayé la relance téléphonique, mais sans aucun succès. Ce lundi le message était même que le SPW était fermé vendredi (sic) et qu'il était inutile d'essayer de déposer un message.
En désespoir de cause j'ai envoyé un message à Carole Van Goethem qui m'avait immédiatement aidé il y a plus d'un an dans une situation similaire. Pas (encore) de réaction.
Que faire ?
Le point en date du 27 janvier .
Ce week-end j'ai envoyé 3 rappels à primeshabitation@spw.wallonie.be car je me suis demandé s'il y avait une gestion des files d'attente ou si les messages qui s'y enfonçaient étaient définitivement perdus.
Pour la demande de septembre j'ai rappelé que mon client et moi attendons toujours. Aucune réaction.
Pour le message du 15 novembre, je les ai informés que mon client souhaitait faire des travaux en décembre et qu'en l'absence de réponse il avait reporté son projet à plus tard. Encore une amélioration perdue... Aucune réaction.
Pour la demande du 22 novembre, j'ai expliqué que mes clients n'osaient pas continuer leur projet sans savoir s'ils seront éligibles aux aides. Surprise ! J'ai reçu une réponse dès lundi à 7h23. La juriste m'a fourni des éléments précis qui permettent d'éliminer les doutes et donc de rassurer mes clients sur l'éligibilité de leurs parois reconstruites pour les primes à l'isolation. Enfin un projet qui peut repartir.
Il me reste donc une demande ouverte, heureusement pour une famille qui n'est pas trop pressée, mais je pense que je vais devoir la renvoyer tous les 15 jours dans l'espoir que finalement quelqu'un la regardera.
La conclusion est toujours la même : que de temps perdu !
Carole ne peut malheureusement pas faire tout toute seule...
Si asbl PEEB connaissait les nombreux cas semblables aux tiens, nous pourrions faire une demande collective pour améliorer le traitement de ces demandes, en fonction des disponibilités administratives ou autres.
D'un autre côté, les juristes qui ont concocté les arrêtés, ne se sont pas gênés pour nous mettre des délais dans les gencives.
Évidement, ils ne sont pas concernés, c'est facile...
Ça fait un peu penser aux fameux "délais de rigueur" du CoDT qui sont tout, sauf "de rigueur" justement.
S'ils sont dépassés, ce n'est pas l'administration qui en subit les conséquences, mais leurs administrés.
C'est trop injuste !
Et il faudrait que ça change.